Ce plan séquence de ouf. C'était puissant et débile à la fois, à l'image de toute la série. J'adore leur nouveau concept de coller une chanson folk par épisode, pour raconter l'histoire. C'est décalé et ça marche drôlement bien. Je m'attendais à ce que la chanson s'arrête une fois qu'il soit arrivé dans la supérette, mais non, ça continue, l'attaque, la fuite, le retour dans le métro. C'était tellement bizarre - déjà voir le métro parisien dans un pseudo thriller américain, ça fait bizarre. Ils ont réussi à retrouver l'équilibre parfait qui existait dans le pilote du tout début, entre grands moments de tension et gros n'importe quoi pseudo nihiliste. Je surkiffe.