Pas trop mal. Moins énervant que la plupart de ces polars français à la Marchal où les personnages parlent comme dans des Series B américaines. Ce qu'il a plus ou moins lancé, il l'arrange ici, notamment en montrant 4 persos principaux très humains et très loin des clichés ambulants qu'étaient les machos du reste de sa filmo.

Mais Orelsan, déjà qu'une fois, ça pique, mais alors plusieurs fois...