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le 01/03/17 à 11:52
Patriot (Amazon)


le 02/11/16 à 19:51
Lethal Weapon (TV)


le 07/08/16 à 20:20
Roadies (2016)


le 01/05/16 à 19:45
Quantico (2015) - ABC


le 26/10/15 à 12:16
12 Monkeys (SyFy)


le 29/09/15 à 20:37
Manhattan (WGN)


le 22/09/15 à 02:26
The Leftovers


le 05/09/15 à 16:50
Killjoys (2015)


le 15/08/15 à 13:51
You're the worst


le 15/08/15 à 13:24
Billy & Billie


le 10/07/15 à 14:00
Mr. Robot [2015]


le 08/07/15 à 16:23
Texas Rising (2015)


le 01/07/15 à 14:55
Aquarius (2015)


le 29/05/15 à 23:21
The Knick (Cinemax)


le 19/05/15 à 22:02
Z Nation (SyFy)


le 11/02/15 à 21:13
Bosch


le 30/12/14 à 14:50
Gotham


le 29/09/14 à 10:15
P'tit Quinquin


le 10/07/14 à 14:50
Extant


le 29/06/14 à 23:24
Southcliffe


le 09/06/14 à 11:05
Halt & Catch Fire [AMC]


le 27/05/14 à 11:41
Ray Donovan (Showtime)


le 22/05/14 à 21:54
Penny Dreadful, cadavre exquis ?


le 12/05/14 à 23:07
Person of Interest


le 10/05/14 à 13:10
Inside N°9


le 06/05/14 à 17:52
The Widower UK (2014 - ITV)


le 16/04/14 à 18:32
Elementary


le 24/03/14 à 00:11
Les Beaux Malaises


le 22/01/14 à 20:49
Klondike


le 22/11/13 à 22:40
Nowhere Boys


le 05/11/13 à 00:46
Fatmagül'ün Suçu Ne?


le 30/10/13 à 21:25
Bates Motel


le 28/10/13 à 18:56
Mob City


le 08/10/13 à 20:46
Peaky Blinders


le 28/08/13 à 17:50
Sleepy Hollow


le 02/08/13 à 17:24
Orange is the New Black [NetFlix]


le 31/07/13 à 19:11
CH:OS:EN [Présentation de la série]


le 08/06/13 à 12:15
Longmire


le 20/05/13 à 00:33
Rectify


le 19/05/13 à 21:04
HARRY... série Néo-Zelandaise


le 16/05/13 à 17:03
Spin_off "Once upon a time"...in wonderland


le 15/05/13 à 02:02
The Fall


le 12/05/13 à 16:26
WENTWORTH, série australienne...


le 11/05/13 à 10:38
Life of Crime


le 04/05/13 à 23:04
Top of the Lake


le 30/04/13 à 13:56
The Goodwin Games, par les créateurs de How I Met Your Mother


le 18/04/13 à 19:11
Da Vinci's Demons


le 07/04/13 à 20:38
Orphan black


le 03/04/13 à 16:34
Raising Hope


le 14/03/13 à 22:52
Mayday mini série BBC

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+4.69
Publié par Nao le 01/03/17 à 11:52   -   Categorie : Présentations de séries  -   Vu: 3654 fois
Chaîne : Amazon
Saison 1 : 10 épisodes
Renouvelée pour une 2e saison.

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C'est la première série Amazon qui me botte assez pour que j'en parle. Je ne suis pas trop fan du concept du pilote proposé à tous, et de la série qui n'arrive que 2 ans plus tard...

John Tavert est un agent non officiel qui bosse pour la CIA sous les ordres de son père. Sauf que depuis un cafouillage monumental lors de sa précédente mission en Iran, où il s'est trompé de cible et a fini capturé et torturé (d'une manière hilarante et pas gore du tout, c'est pas le genre de la série), John n'a plus trop goût à la vie. Il fume des joints à la chaine à Amsterdam et chante des chansons folk inspirées de ses missions top secrètes, le temps que l'affaire se tasse. Mais une nouvelle mission l'attend, pour rattraper le coup en Iran, qui implique qu'il se fasse passer pour un ingénieur en tuyaux dans une entreprise au fin fond du Midwest.

Disclaimer : Je suis un tout petit peu amoureuse de Michael Dorman. Mais au fil des épisodes, c'est l'ensemble qui m'a tapé dans l’œil. Il n'empêche que choisir un acteur néo-zélandais pour jouer un bon petit Américain dans une série qui s'appelle "Patriot", c'est un peu étonnant. Il est absolument parfait dans ce rôle dramatique et dans un rôle principal (enfin !).

*

La série, sur le papier, se résume à une petite histoire au rythme vraiment pas pressé, à base d'espions et de relations familiales. Le concept de l'espion foireux, version comédie-dramatique, ça avait déjà été fait plein plein de fois, donc je m'attendais à ce que ça soit cliché (surtout que je n'aime pas trop Terry O'Quinn), mais bizarrement tout passe drôlement bien.

L'intrigue de la saison est construite comme une spirale autour d'un problème initial qui fait tache d'huile, et auquel n'ont de cesse de se greffer des problèmes secondaires à mesure qu'ils essaient de mener à bien cette mission terriblement mal embarquée.

C'est à la fois extrêmement lent, et relativement bien rythmé. La narration est totalement fragmentée, faite de scènes et d'images parfois sans lien entre elles, de lieux exotiques divers (Luxembourg, qui n'est pas sans rappeler l'excellent In Bruges), sur une trame de fond (très lointaine) à base de crise politique. Il ne se passe quasiment rien du tout, et pourtant je mourrais d'envie de savoir la suite à chaque épisode (grâce à une utilisation efficace des cliffhangers notamment).

Les mêmes thèmes sous-tendent la série du début à la fin. Une succession de motifs récurrents, au départ sans rapport évident entre eux, qui se cumulent et s'expliquent au fur et à mesure comme un puzzle géant.

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L'humour est décalé, grinçant. Inattendu, souvent, comme une espèce de bonus qu'on n'attendait plus pour apporter un peu de légèreté. Les chansons folk et les musiques utilisées sont très sympas, tout en restant un peu lourdingues parfois. A l'image de la série : à la fois hilarant et triste.

Tout ne fait pas mouche ; il y a parfois de grands moments pseudo artistiques bien trop longs. Certains épisodes sont un peu frustrants dans leur désir constant de se démarquer, d'avoir du sens tout en étant artistiquement originaux. L'ensemble est bien pensé, mais ressemble parfois un peu à projet de fin d'école d'art, un truc bizarre volontairement, juste pour faire du bizarre (ça s'arrange, cela dit, ou alors on s'y fait...).

Mais sur l'ensemble, les très bons épisodes sont plus nombreux que les épisodes juste bof. C'est parfois creux, bizarre, mais il y a beaucoup de justesse et d'humanité dans la manière dont les personnages sont construits. Ils ont le mérite d'avoir pris des risques, et d'avoir fait quelque chose d'original et de cohérent.

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Mon problème principal, au début de la saison, c'est que je n'arrivais pas à déterminer ce que cette série était censée être. Je savais que ça me plaisait, que je regarderais jusqu'à la fin et que j'en ferais une présentation, mais je restais sceptique, parfois, devant ce truc curieux, qui n'aurait jamais été commandé sur une chaîne "normale". Je n'arrivais pas à décider ce qu'ils essayaient de faire.

Est-ce une série d'espionnage (on est loin de Homeland, encore que, la CIA qui tente d'influencer la politique iranienne de manière totalement illégale avec une opération qui foire, ça me rappelle quelque chose...) ? Mais si c'est de l'espionnage, ce serait centré sur l'espion le moins doué de la planète, totalement poissard et déphasé...

Ou alors, serait-ce juste une métaphore de la dépression ? Une représentation physique, matérielle de l'état d'esprit d'une personne dépressive. Des plans séquences interminables, des silences, du vide, l'impression d'être constamment à contre-courant, à la limite de la rupture.
J'ai beaucoup pensé à In Bruges, pour le postulat de départ (un type dépressif à cause d'une bavure qui s'est soldée par la mort d'un innocent) et l'environnement carte postale dans un bled européen minuscule.
Les personnages qui gravitent autour de John n'ont de cesse de lui rappeler qu'il est déphasé, ou de lui prodiguer des conseils d'hygiène de vie sensés. Manger, dormir, ne pas fixer le vide d'un air con, ne pas prendre la place de parking de son boss. Certains épisodes entiers sont juste, dans le fond, une représentation intéressante de cette sensation que chaque tâche est insurmontable quand on est en dépression.

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Les parties en "français" donnent envie de se tirer une balle. C'est terrifiant de nullité ; heureusement qu'il n'y en avait pas tant que ça.
+6.76
Publié par Nao le 02/11/16 à 19:51   -   Categorie : Présentations de séries  -   Vu: 4166 fois
Chaîne : FOX
Saison 1 : 18 épisodes
Renouvelée


Je voulais faire une présentation "normale", mais en fait non, trop de trucs à dire, trop en vrac. A la place, j'ai fait une liste d'arguments pour et contre la série.


Premier point positif : Clayne Crawford. C'est un gros gros point positif même. Il ne prétend pas faire du Mel Gibson, mais il arrive à rendre appréciable des scénarios pas toujours fins. Dans le premier trailer, la FOX le présentait comme un inconnu ("introducing Clayne Crawford", qu'ils disaient). Sauf qu'en fait, il est pas du tout inconnu.
Grâce à Lethal Weapon, série de network écrite à la cuiller, j'ai enfin tenté la magnifique Rectify sur Sundance, et wow merci la FOX. (Petit choc tout de même de passer d'un personnage adorable à un personnage à baffer, preuve que c'est un bon acteur...).

Un petit article qui démonte le pilote bien comme il faut, mais qui loue la prestation de Crawford (et qui dit d'aller mater Rectify, preuve que ce sont des gens bien qui l'ont écrit).


Gros contre : faire un remake de Lethal Weapon est une hérésie. C'est peut-être un avis personnel parce que j'ai trop regardé les films, vu qu'en temps normal je ne suis pas opposée à l'idée des remakes (et il y a parfois des pépites, comme Hannibal), mais cette série-là, sur le papier, semblait tout de même gravement inutile.
Le trailer était mignon comme tout (avec des explosions et des blagues nazes), j'ai tenté "pour voir", et j'en suis à piaffer en attendant la suite...


Positif : le trailer ne mentait pas, c'est drôle et il y a des explosions. A ce niveau-là, on est servis. Un moitié des scénaristes et réalisateurs a bossé sur des comédies, l'autre sur des trucs d'action pan-pan boom.
Un certain McG a réalisé les deux premiers épisodes ; personnellement, je l'aime bien, en tant que créateur d'une autre série-naze pleine de bromance sur la Fox, Fastlane, tristement annulée au bout d'une saison.


Ce qui m'amène à mon deuxième point négatif, la Fox. Ils sont responsables de plein de daubes vite annulées l'année dernière, dans un désir désespéré de trouver un remplaçant à Bones. Lethal Weapon a de bonnes audiences pour l'instant et une (petite) saison complète a été commandée, mais je reste sur mes gardes.


Un petit argument visuel qui ne mange pas de pain.


Jordana Brewster, cœur.


Le problème principal, à mon sens, le manque de moyens et les faux raccords qui en résultent. C'est rageant, mais ce n'est même pas un défaut d'écriture, je pense qu'ils n'ont simplement pas eu le temps ou la thune pour refaire les scènes.

Le scénario part un peu dans tous les sens, parfois ça fait mouche, et parfois on se demande à quoi ils pensaient. Il y a, en vrac, des scènes pour faire pleurer dans les chaumières, sauf que c'est écrit à la truelle. Des scènes hilarantes et totalement HS (notamment avec le capitaine, qui est super).

Cela étant dit, c'est moins hérétique que prévu - j'avais peur qu'ils refassent des versions télé des films, mais ce n'est visiblement pas leur intension pour le moment. Ça tient plus de l'hommage gentillet qu'autre chose.
Et comme on n'est pas sur CBS, point de procédural formaté à l'extrême. Les enquêtes sont cool, mais clairement secondaires ; la baston est inventive, l'ensemble est un gros nawak délirant la plupart du temps, avec un soupçon de développement des personnages en cours de route.


En conclusion, regardez la série, c'est marrant. A défaut, rematez les films. Et sinon, il y a toujours Rectify !


En bonus, un petit résumé quand même, pour ceux qui n'auraient pas vu les films (hérétiques !) :

Roger Murtaugh est un bon flic cinquantenaire qui vient d'avoir des problèmes cardiaques et qui doit se calmer un peu dans le boulot. Pour qu'il ne puisse pas faire ça, on lui colle un partenaire frappadingue, Martin Riggs, qui est un poil suicidaire depuis la mort de sa femme (enceinte, histoire de bien enfoncer le clou) dans un accident de voiture.
film
qui n'en était pas un...
+4.79
Publié par Nao le 07/08/16 à 20:20   -   Categorie : Présentations de séries  -   Vu: 1810 fois
Roadies

Saison 1 : 10 épisodes prévus

Chaîne : Showtime

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Roadies, comme son nom l'indique vaguement, est une série sur tous ces gens qui font qu'une tournée de concerts est possible.

La série est construite à travers une double narration, pour permettre à celui qui n’y connait rien du tout de ne pas se sentir trop rejeté par ce monde en apparence fermé. D’un côté, on a Reg Whitehead, personnage ultra-classique de l’outsider, parachuté en pleine tournée pour trouver où faire des économies – il est anglais, riche, porteur de mauvaises nouvelles, mais surtout, il n’a pas les codes, il est toujours à côté de la plaque.
De l’autre, on a Kelly Ann (Imogen Poots), responsable de la lumière (mais on ne la voit faire ça que dans le pilote, après son job est confus), petite jeunette pas bien intégrée dans le groupe, qui passe un épisode entier à clamer haut et fort qu’elle s’en va pour une école de cinéma, pour finalement… rester. Ce qui la place en porte-à-faux avec tout le groupe.
Mais là où c'est intéressant, c’est qu’on se rend progressivement compte que Reg est plus souple et accommodant que Kelly Ann ; tout britannique et guindé qu’il soit, il finit par se faire à plein de choses, à reculons, là où Kelly Ann reste à bouder dans son coin malgré son désir apparent de s’intégrer. *

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Celui qui compte regarder cette série pour en apprendre plus sur les coulisses d’une tournée de concerts de rock sera déçu. Déjà, on ne les voit que très rarement préparer concrètement des choses ; tout le monde s’affaire, mais ce n’est pas vraiment clair dans le détail. Dans l’esprit, par contre, c’est sympathique ; à chaque nouvelle ville traversée, le manager de la tournée fait des références à la louche sur des figures mythiques du rock.
La bande son est sympathique, même si je n’aime pas trop les premières parties choisies (mais c’est un sentiment personnel, un peu trop indie folk/pop pour moi, mais ça reste totalement écoutable…).

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Les membres du groupe fictif (qu’on ne voit jamais jouer, pour le moment…) ne sont pas vraiment sympathiques, mais je pense que c’est le but – après tout, la série ne parle pas d’eux, mais de tous les à côtés. Ils passent donc pour des divas un peu chiantes, et bien que très pénible, c’est peut-être un des aspects les plus réalistes de la série.

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Le reste, c’est globalement du remplissage et du ‘character development’, si bien qu’on croirait presque regarder une sitcom. Une très bonne sitcom bien écrite et bien jouée, avec une bonne bande son et de jolies images, mais une sitcom tout de même. On a les deux qui sont déjà en couple sans le savoir, tellement ça leur pend au nez. L’amourette naissante entre deux personnages que tout oppose. Cliché sur cliché, mais on s’attache, et les personnages évoluent bien, même si c’était long à démarrer. C’est léger et drôle, on ne voit pas passer les épisodes.

*
spoiler épisode 5
Dans cet épisode, Reg prononce sans le faire exprès un mot à ne jamais dire à bord du bus, provoquant sans le vouloir une frénésie collective autour d’une soi-disant malédiction. On croit qu’il va péter un câble rapidement, mais non, il rouspète, il se lamente, mais il suit le mouvement, globalement. Et quand Kelly Ann lui avoue qu’elle n’y croit pas du tout, à cette malédiction, il explique que lui y croit, en bon pragmatique : si l’équipe se met à paniquer, ils vont forcément faire des erreurs, causant un effet boule de neige.
+6.79
Publié par Nao le 01/05/16 à 19:45   -   Categorie : Présentations de séries  -   Vu: 3595 fois
Chaîne : ABC
Saison 1 : 22 épisodes - renouvelée

Résumé


Présent
Une explosion a détruit la gare de Grand Central à New York. Une jeune agent du FBI, Alex Parrish, est retrouvée à proximité, indemne. Coupable toute désignée, elle est rapidement arrêtée et interrogée, bien qu'elle clame son innocence. On l'a piégée, et le vrai terroriste fait partie de sa promo !

Flashback
On suit donc les traces de la promo à Quantico, depuis leur arrivée. Très vite on se rend compte que chaque recrue cache des secrets et a des raisons toutes personnelles de s'être engagé dans le FBI...

Suspense
Mais qui a donc fait sauter Grand Central (et pourquoi, et comment, mais ça c'est accessoire...) ? Parrish arrivera-t-elle à blanchir son nom, ou servira-t-elle de bouc émissaire juste parce qu'elle est un peu trop bronzée ?

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Commentaire


Un recette éprouvée
La construction à base de flashbacks, avec deux timelines parallèles, qui s'éclairent mutuellement, n'est pas sans rappeler celle de How to Get Away With Murder, sur la même chaîne. A la place des cours de droit à la fac, on a des cours de... on ne sait pas trop quoi à l'académie de Quantico. Autant le dire franchement, la série ne brille pas par son réalisme...

Des mensonges à profusion
Si le premier épisode met en scène des interrogatoires entre les jeunes recrues, polygraphe à l'appui, on comprend très vite que 99 % de ce qu'on apprend sur eux est un mensonge construit minutieusement pour des raisons diverses et variées (cacher un passé embarrassant, une mission secrète, une sœur jumelle, et j'en passe...).

Autant dire que les scénaristes s'en donnent à cœur joie pour nous faire croire tout et son contraire : absolument tout le monde est suspect, à un moment ou à un autre... Je ne suis même pas sûre que les créateurs eux-mêmes sachent clairement qui est le vrai coupable, même s'ils clament que oui, et qu'on saura tout avant la fin de la saison.

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Se vautrer dans le cliché, ça a du bon
Vous l'aurez compris, ce n'est ni une série sérieuse, ni une série crédible. C'est "too much" d'un bout à l'autre, mais on s'attache. Exit le maniérisme sépia de HTGAWM, ici tout est punchy, tout est dynamique, on veut faire "djeunz" à tout prix.

Chaque épisode est construit autour d'une "épreuve" (à la Koh Lanta) que subissent les recrues de Quantico, dans le passé. C'est souvent ridicule et couillon, ce qui leur laisse beaucoup de temps pour se mettre dans des situations intenables et se prendre la tête.

En parallèle, l'enquête de Parrish dans le présent avance, nous faisant douter à chaque épisode de ce qu'on sait déjà. Les scénaristes arrivent à être bien cruels avec leurs personnages, et la série prend parfois des tournants assez noirs, ce qui n'est pas déplaisant.

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En bref
Ce n'est pas très bien joué (on va dire que c'est très inégal d'un acteur à l'autre, d'un épisode à l'autre), mais on apprécie de retrouver quelques têtes connues sous-exploitées (Jake McLaughlin, Believe, Graham Rogers, Revolution - oui, bon, j'aime les blonds...). Ils arrivent à friser la connerie un épisode, et chambouler tout ce qu'on croyait savoir l'épisode suivant, si bien qu'on se sent obligé de continuer, parce que dans le fond, c'est amusant.
+10.44
Publié par Nao le 26/10/15 à 12:16   -   Categorie : Présentations de séries  -   Vu: 4243 fois
Chaîne : SyFy
Saison 1 : 13 épisodes
Saison 2 : prévue pour avril 2016

J'ai tenté de ne pas trop spoiler, c'était pas vraiment évident, du coup je parle beaucoup dans le vide, vous m'excuserez...

Quand SyFy a annoncé toute une série de nouveautés l'an dernier (Z Nation, Killjoys, Dark Matter...), ce n'était pas vraiment en 12 Monkeys que je plaçais mes espoirs. Une adaptation de film, c'est très souvent casse gueule (ya qu'à voir le désastre récent avec Minority Report).

Tout ce dont je me souvenais de ce film, que je tenais en très haute estime malgré tout, c'était que Brad Pitt était fou, que Bruce Willis mangeait une araignée, et qu'il y avait un twist final de malade, le tout réalisé par Terry Gilliam. Dans la série, plus de Brad Pitt, plus de Bruce Willis, on se coltine Aaron Stanford, sous la direction de l'équipe de Nikita. Sur SyFy. Flippant quoi.

J'ai attendu d'avoir fini la saison 1 pour revoir le film (spoilers rétroactifs, tout ça...). Ça m'a permis de réaliser que le film avait quand même vachement vieilli, que le twist n'était pas si fou que ça, et que pas mal de choix dans la série étaient de beaux hommages au film. Les meilleures adaptations, à mes yeux, sont celles qui parviennent à faire référence à l'ouvrage de base de manière biaisée, par un détail, un écho.

mini spoiler capillaire (film)
Rien que pour le choix d'Aaron Stanford, il prend tout son sens quand on arrive à la fin du film et que Bruce Willis/Cole doit se déguiser à l'aéroport.
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Trêve de divagations, de quoi cela parle-t-il ? De voyage dans le temps et de petits paradoxes tout mignons (surtout ne pas chercher la logique, comme tout bon paradoxe, ça fait mal au cerveau et ça n'est pas très rationnel)...

Dans un futur proche (2043 dans la série, contre 2027 dans le film), un virus a éradiqué l'humanité, et les survivants sont un peu dans la merde. Une équipe de scientifiques fous se sert d'une machine à voyager dans le temps pour envoyer un type dans le passé et empêcher l'épidémie.

La série a voulu clarifier pas mal de choses là où le film était volontairement bordélique et confus, avec un personnage principal tout sauf fiable. Dans la série, ils choisissent Cole en particulier car un enregistrement provenant du CDC parle de lui. Il est donc envoyé en 2015 (mais, comme dans le film, ils se plantent de quelques années) avec pour mission de trouver le Dr Reilly (virologue dans la série, psychiatre dans le film) et l'origine du virus.

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Bon, fatalement, la série est tout sauf parfaite. C'est du câble, mais version SyFy (j'adooore SyFy, mais il faut bien admettre qu'ils n'ont pas le budget d'autres chaînes). Ce qui m'a plu, c'est que l'ensemble est assez simple et crédible d'un point de vue visuel, mais on arrive à s'en servir comme d'un point de départ pour imaginer le reste, tout ce qu'on ne nous montre pas.
La série s'aventure dans plusieurs époques/pays, à mesure que les voyages dans le temps se multiplient et que les lignes temporelles se complexifient, et chaque époque a son unité visuelle propre.

Gros couacs aussi au niveau du scénario, ça s’essoufflait bien sur la fin. L'annonce du renouvellement était même un peu inquiétante, j'avais peur qu'ils nous la rejouent Helix ou Revolution saison 2. Mais, sans spoiler, la fin de la saison 1 est vraiment surprenante et sympathique, et le trailer de la saison 2 annonce quelque chose de correct, dans la continuité.

Restait l'absence de Brad Pitt pour jouer Jeffrey Goines, que Cole rencontre à l'asile. Gros point noir à mes yeux, zappé en moins de deux épisodes par une Emily Hampshire très inspirée, dans une version genderbend du personnage. Elle a récupéré tous les maniérismes du personnage original, c'est assez saisissant, et encore plus après avoir revu le film.

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Pour finir, j'ai adoré que la série soit terriblement cruelle avec ses personnages. Ça ne reste pas gentillet-propret, il y a du sang, des morts, des paradoxes temporels sanglants et meurtriers, bref l'éclate totale.
Et en parallèle de ça, il y a beaucoup d'humour et de naïveté dans le personnage de Cole (peut-être moins que dans le film, ou plutôt différemment ; le Cole de la série est plus volubile, plus intelligent aussi). Les différences entre le passé et le présent, le choc entre les deux mondes, sont bien gérées, toujours en toile de fond, et pas uniquement pour faire rire (même s'il y a un running gag bien sympa où Cole passe son temps à se jeter sur la bouffe).
+10.86
Publié par Coquelîcot le 29/09/15 à 20:37   -   Categorie : Présentations de séries  -   Vu: 3299 fois
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"Manhattan" suit les scientifiques brillants, mais imparfaits, impliqués dans la plus grande course contre la montre de l'histoire de la science, la construction, clandestine, de la première bombe atomique du monde à Los Alamos, Nouveau-Mexique. Les scientifiques et leurs familles tentent de co-exister dans un monde où secrets et mensonges s'introduisent dans chaque aspect de leur vie.



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Récapitulatif Saison 01
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Trailer/Teaser Saison 02
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Infos

Créateur Sam Shaw
Avec John Benjamin Hickey, Olivia Williams, Ashley Zukerman
Chaîne WGN America
Diff. Originale 27 juillet 2014
Saison 01 13 Episode
Saison 02 Le 13 Octobre 2015
Durée ~52 Minutes
Site http://www.wgnamerica.com/shows/manhattan
+10.88
Publié par Bunky Bunk le 22/09/15 à 02:26   -   Categorie : Présentations de séries  -   Vu: 17515 fois
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Genre de la série : Drame fantastique.
Nombre de saisons : 2 (série en cours).
Nombre d'épisodes : 20 (10 épisodes de 55 minutes par saison).
Produit pour : HBO.
Dates de diffusion US : Les dimanches à 21h, du 23 juin au 7 septembre 2014 (saison 1) et du 4 octobre au 6 décembre 2015 (saison 2).
Diffusion FR : Sur OCS City.
Disponibilité DVD (amazon.fr) : Saison 1.
Disponibilité Blu-ray (amazon.fr) : Saison 1.

Créateurs : Damon Lindelof (LOST, Star Trek, Prometheus, Tomorrowland) et Tom Perrotta, d'après le roman éponyme de ce dernier (la saison 1 couvre tout le roman).
Scénaristes : Damon Lindelof, Tom Perrotta (également auteur d'Election et Little Children), Kath Lingenfelter (Sleeper Cell) & Jacqueline Hoyt (The Good Wife).
Réalisateurs : Peter Berg (Lone Survivor, FNL, Ballers), Mimi Leder (Deep Impact, Shameless), Carl Franklin (Homeland), Michelle MacLaren (Breaking Bad) & Lesli Linka Glatter (Homeland).
Musique originale : Signée par Max Richter (Valse avec Bashir, Elle s'appelait Sarah, Wadjda). La bande-originale de la saison 1 est disponible à la vente.

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Synopsis :

Le 14 octobre 2011, 2% de la population mondiale disparait : 140 millions de personnes parties en un instant. Comment est-ce possible, pourquoi eux ? Personne ne le sait. La série suit la vie de gens qui doivent continuer à vivre dans un monde où cet évènement incompréhensible a touché tout le monde, de manière différente.

La famille Garvey, dans la petite ville de Mapleton (NY), est au coeur du récit : le père est flic et fait de son mieux avec sa fille adolescente, son fils ainé a quitté le nid familial pour rejoindre un leader de culte qui clame posséder le pouvoir d'enlever la douleur des gens, et sa femme a choisi de se murer dans le silence des Coupables Survivants ("Guilty Remnants"), une organisation en marge d'une société fragile à qui elle veut rappeler qu'ils sont les "rappels vivants" d'un acte de Dieu que la population essaye de surmonter.



Bande-annonce saison 1 :

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Teaser saison 1 :

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Teaser saison 2 + affiche :

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Casting principal :

- Justin Theroux (Mulholland Dr., Six Feet Under) joue Kevin Garvey, flic de Mapleton, qui essaye de gérer les problèmes de la ville et ses doutes personnels.
- Amy Brenneman (Judging Amy, Private Practice) joue Laurie Garvey, mariée à Kevin, et membre de la communauté des Coupables Survivants.
- Margaret Qualley (Palo Alto, The Nice Guys), joue Jill Garvey, la fille de Kevin et Laurie, qui vit désormais seule avec son père.
- Chris Zylka (Kaboom, The Amazing Spiderman), joue Tom Garvey, le fils ainé des Garvey, vivant dans une communauté recluse auprès de 'Holy' Wayne.
- Carrie Coon (Gone Girl) joue Nora Durst, la seule personne de Mapleton à avoir perdu son époux et ses enfants durant l'incident du 14 octobre.
- Christopher Eccleston (Doctor Who, Heroes) joue Matt Jamison, révérend de l'Église épiscopale et frère de Nora.
- Ann Dowd (Masters of Sex, Olive Kitteridge) joue Patti Levin, leader des Coupables Survivants.
- Liv Tyler (Armageddon, The Lord of the Rings) joue Meg Abott, sur le point de se marier et se laissant entrainer chez les CS.


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Casting secondaire :

Saison 1 :


- Patterson Joseph (Survivors, Babylon) joue 'Holy' Wayne Gilchrest, prophète auto-proclamé recherché par l'ATFEC (le nouvel ATF, qui s'occupe aussi des sectes ayant bourgeonné depuis le 'Sudden Departure').
- Annie Q (Breathe In) joue Christine, une jeune disciple de Wayne enceinte de son bébé.
- Amanda Warren (The Closer) joue Lucy Warburton, la maire de Mapleton.
- Emily Meade (Fringe) joue Aimee, une amie de Jill Garvey.
- Michael Gaston (Damages, Mentalist) joue Dean, un mystérieux homme qui entre dans la vie de Kevin.
- Max & Charlie Carver (Desperate Housewives, Teen Wolf) jouent Adam & Scott Frost, des jumeaux amis de Aimee et Jill.
- Marceline Hugot (Onion News Network, 30 Rock) joue Gladys, une adepte des Coupables Survivants.
- Scott Glenn (The Bourne Ultimatum/Legacy, Sucker Punch) joue Kevin Garvey Sr, le père de Kevin, ancien chef de police, qui entend des voix depuis le 14 octobre 2011.
- Janel Moloney (The West Wing, Alpha House) joue Mary Jamison, la femme de Matt, qui se trouve dans un état catatonique.


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Saison 2 :


- Regina King joue Erika Murphy.
- Kevin Carroll joue John Murphy.
- Jovan Adepo joue Michael Murphy, le fils d'Erika et John.
- Turk Pipkin joue Pillar Man.
- Steven Williams joue Virgil.


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Titres des épisodes :

spoiler
1.01 - Pilot.
1.02 - Penguin One, Us Zero.
1.03 - Two Boats and a Helicopter.
1.04 - BJ and the AC.
1.05 - Gladys.
1.06 - Guest.
1.07 - Solace for Tired Feet.
1.08 - Cairo.
1.09 - The Garveys at Their Best.
1.10 - The Prodigal Son Returns.

2.01 - Axis Mundi.
2.02 - A Matter of Geography.
2.03 - Off Ramp.
2.04 - Orange Sticker.
2.05 - No Room at the Inn.
2.06 - Lens.
2.07 - A Most Powerful Adversary.
2.08 - International Assassin.
2.09 - Ten Thirteen.
2.10 - I Live Here Now.
+8.04
Publié par Nao le 05/09/15 à 16:50   -   Categorie : Présentations de séries  -   Vu: 5571 fois
Chaîne : Space channel (Canada) & SyFy (US)

Saison 1 : 10 épisodes

Saison 2 : 2016

Production : créé par Michelle Lovretta (Lost Girl), avec Hannah John-Kamen (petite Britannique sympathique), Aaron Ashmore (Warehouse 13) et Luke Macfarlane (The Night Shift).

Cette série est tout sauf parfaite. Elle est même un peu ratée, si on cherche la petite bête. Mais pour une série d'aventure science-fictionnante produite par des Canadiens, c'est plutôt pas mal...

Dans un système solaire lointain, une organisation censée rester neutre est chargée de capturer des criminels en fuite, façon Cowboy Bebop. On suit donc les pas d'un trio de chasseurs de primes ; la chef se débat avec son passé mystérieux d'assassin, et son second voit d'un œil circonspect le retour de son soldat de frère, visiblement pas très bien dans sa tête. (Ici, pas de chien ou de gamine hackeuse, mais un vaisseau spatial facétieux, qui cause et qui s'appelle Lucy.) Le tout se déroule sur fond de crise politique entre quatre planètes pas du tout égalitaires, avec intrigues de palais et groupuscules religieux qui vont bien.

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Alors, clairement, ça ne révolutionne pas l'histoire de la science-fiction. Mais l'équipe a fait du bon boulot pour créer un univers crédible (bien que cliché), dans des décors sympathiques, avec des gadgets qui ressemblent à quelque chose (tout en étant futuristes et fonctionnels), le tout sur un budget qui ne devait pas être fameux. J'ai toujours beaucoup d'admiration pour les séries/films qui renoncent au tout digital et s'emmerdent à trouver des idées pour rendre la chose plus tangible.

Ce qui j'ai aimé par-dessus tout, c'est que la série démarre à toute blinde et qu'elle ne s'excuse pas de ce qu'elle est : une petite connerie inventive qui revisite les codes du genre pour le plaisir, pas pour philosopher.
Les personnages sont peu nombreux, très bateau de prime abord, mais attachants (j'ai sans doute un a priori favorable car j'aime beaucoup les acteurs). Et surtout, la série n'a pas peur de les massacrer joyeusement - rien de tel pour qu'on s'y attache.

Savoir que tout est possible, qu'ils vont nous sortir de nouvelles niaiseries technologiques futuristes à chaque épisode, ça rend le truc vraiment stressant et prenant. Toutes les tropes y passent, mais on ne s'ennuie pas (sauf quand ça blablate politique, mais c'est encore une fois personnel). Au final, ils arrivent à rester à mi-chemin entre la caricature (jouissive mais débile) et le truc trop sérieux et sombre.

Mention spéciale pour les effets spéciaux drôlement réussis :
spoiler
une sortie dans l'espace sans combi, des gens qui explosent, de la pluie acide, tout plein de réjouissances...


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+5.79
Publié par luneart le 15/08/15 à 13:51   -   Categorie : Présentations de séries  -   Vu: 2404 fois
Dans la suite de ma série de trouvailles nouvelles sympa, j'ai nommé You're the worst.
Qu'est-ce? Comédie romantique, mais surtout comédie. Pour les amateurs de série britanniques, c'est plus ou moins Him and Her, transplanté dans la culture américaine, et en plus... américain quoi.

Le plot, deux gens cyniques à souhait, voir franchement égoïstes, commencent une relation qui n'était censée être qu'un plan cul.

Pour ceux qui ont vu Him and Her, la série perd beaucoup de sa fraîcheur, elle reste toutefois bien sympathique dans le cynisme et le comique ambiant. C'est surtout l'occasion de voir Aya Cash dans un rôle où elle peut s'exprimer, plus valorisant que la greluche faire-valoir de Traffic lights.
Pour ceux qui n'auraient pas vu Him and Her... Regardez les deux :)
+3.35
Publié par luneart le 15/08/15 à 13:24   -   Categorie : Présentations de séries  -   Vu: 977 fois
Du temps libre sur les mains, guère de motivation à regarder la suite de defiance, under the dome, et encore moins de la saison2 de helix, je me suis surpris à fureter du côté de l'onglet Séries/Le Top (décidément, j'adore subfactory).
Là, je suis tombé sur Billy & Billie, nouvelle série printemps 2015, genre comédie romantique... plus ou moins.

C'est là le principal intérêt de la série, de mon point de vue: les premiers épisodes, j'étais un peu perdu, mes pensées se résumaient à des choses du type: ok, il se passe quoi là au juste? D'où elle sait ca?
Et puis, petit à petit, sans vraiment rien dire explicitement, la situation se met en place, tout s'explique, et avec beaucoup de subtilité. Subtilité, série américaine? et oui! ca y est, je peux mourir en paix...
Donc, mon principal conseil: si vous n'en avez pas encore entendu parler, **gardez vous de lire les critiques et synopsis**, qui ruineraient cet aspect (de toutes celles que j'ai pu lire, la première phrase balance toute l'intrigue, d'où mon envie d'écrire ce post, en plus de faire connaître la série).

La suite de la saison est beaucoup plus classique, cette prémisse est assumée ouvertement. On est plus tant dans la subtilité que dans la recette du genre, toutefois superbement exécutée.

Les critiques mettent généralement en avant l'auteur/directeur/réalisateur de cette série, Neil LaBute (d'après RottenTomatoes, connu pour The Shape of Things, In the Company of Men). Je ne le connaissais pas, mais après billy and billie, je vais m'empresser de corriger cette lacune.
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